jeudi 28 avril 2016

Mon, nom est carnage, L'éveil de la bète T1

Trente-deuxième millénaire, l'Imperium est en paix. Les Légions Renégates du Chaos ne sont qu'un lointain souvenir, et les races extraterrestres qui ont longtemps harcelé l'humanité sont tenues en respect par les valeureux space marines. Quand une mission visant à exterminer l'une de ces engeances xenos sur le monde d'Ardamantua requiert l'envoi de renforts, les Imperial Fists abandonnent les remparts de Terra pour la première fois depuis mille ans. Un nouvel ennemi, bien plus dangereux, frappe alors. Se pourrait-il que même les héroïques fils de Rogal Dorn se révèlent impuissants face à lui ? La Bête s'éveille, et elle est redoutable.

La fin de la croisade, l'hérésie d'Horus Omnibus

Le premier omnibus Horus Heresy
Avant de céder à l'attrait du Chaos et de déclencher une guerre qui plongea la galaxie dans les ténèbres, Horus fut le plus grand héros de l'Humanité. Cet omnibus Horus Heresy contient la trilogie qui introduit la série, en montrant la plongée du noble Maître de Guerre dans la forfaiture et les débuts du conflit qui garantit que son nom demeurera entaché d'infâmie tant que l'Imperium durera.

L' héritage de la trahison, l'hérésie d'Horus T31

Ce n’est qu’au cœur des conflits les plus meurtriers que se forgent les véritables héros. Alors que les flammes ravagent la galaxie et qu’une guerre meurtrière déchire l’Imperium, les champions de la lumière et des ténèbres s’affrontent sur d’innombrables champs de bataille. Ils ne demandent ni récompense, ni que l’on chante leurs louanges. Tout ce qu’ils souhaitent est de pouvoir aller à la rencontre de leur destinée et découvrir ce que le futur leur réserve. Ce recueil contient dix-huit nouvelles se déroulant à l’époque de la Grande Hérésie, écrites par des auteurs tels que Graham McNeill, Aaron Dembski-Bowden, Nick Kyme et bien d’autres. Ce volume contient également, et pour la première fois en Français, le roman court La Confrérie de l’Orage, qui s’intéresse tout particulièrement aux mystérieux White Scars, et à leur dévotion parfois douteuse envers l’Empereur.